Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo_Photo tiers

Tshisekedi égal à Kabila


L'après Joseph Kabila n'a rien résolu en République démocratique du Congo en termes de violations des droits et libertés fondamentaux. Deux ans après la fameuse passassion pacifique du pouvoir, événement tant vanté, les bornes ne bougent toujours pas. On bastonne, on interpelle, on fait séquestrer sans autre forme de procès sans que le pouvoir ne pipe un mot. Les services de sécurité du régime Tshisekedi traitent au cas par cas. Sont les bienvenus au Congo, seuls les combattants patriotes qui parlent la langue du Président de la République, ou qui ont des proches dans l'entourage du régime. Dernirement parquet de Kinshasa-Matete, un certain Abima Mafiap proche du l'udps parti au pouvoir a déposé une plainte contre des combattants" pour outrage au chef de l'état". Dans la liste de accusés on retrouve les noms de visages connus de combattants. À l'aéroport international de Ndjili, renseignent nos sources, on interpelle et interroge tout tout celui qui est suspecté d'être combattants ou leurs proches en provenance soit de l'Europe soit de l'Amérique qui prend le risque d'atterrir qui, dans la capitale congolaise sans avoir un parapluie dans le cercle tribal du pouvoir. Ces derniers mois, beaucoup ont été arrêtés, soumis à des interrogatoires musclés qui les ont contraints à avouer leurs forfaits. Les téléphones cellulaires, les ordinateurs portables, les carnets d'adresses sont passés à des peignes fins dans le but de retracer vos contacts. On accuse beaucoup de congolais résidents en Occident de profiter de certains privilèges que leur offrent les nouvelles technologies pour salir la réputation des autorités politiques au nom de leur combat dit de libération. Déjà Entre 2016 et 2018, plusieurs rafles avaientt étés opérées à l'aéroport de Ndjili par des éléments des services spéciaux. L'opération avait permis de mettre la main à plusieurs Congolais venant de provinces notamment les membres des mouvements citoyens et des Congolais qui provenaient de l'Europe et l'Amérique, accusés d'être combattants ou complices de combattants, surtout ceux de mouvements citoyens, de la presse en ligne(réseaux sociaux) et ceux qui travaillaient ou ont eu a travaillés dans les entreprises de télécommunications étaient accusés de informateurs ou complices des combattants qui importuner les dignitaires du régime de Kinshasa nuit et jour par rapport aux représailles que ce derniers faisaient subir à la population qui réclamait les élections. Rares sont ceux qui ont eu la chance de s'extirper du pays après les arrestations par les services service de sécurité notamment ANR... En Août 2019 un membre du PPRD a été arrêté par les services de sécurité à son retour à Kinshasa à l'aéroport international de N'djili, en provenance de la Belgique. Ce dernier étant personne vivant avec handicap suite a un accident, a eu la malchance de croiser l'un des combattants, le plus célèbre Boketshu, et ce combattants a obligé M. Ardent KABAMBI à prendre une photo avec lui qu'il publia sur le réseaux sociaux. A l'Agence Nationale de Renseignements (ANR), avant "le tout puissant" Kalev est égal à après Kalev... Les arrestations et détentions arbitraires, ainsi que des cachots secrèts continuent d'exister en toute impunité, contrairement à la promesse faite par le Président Tshisekedi. Les critiques contre le Président Tshisekedi et son allié Joseph Kabila sont de plus en plus non tolérées Actuellement, les opposants politiques et les journalistes sont arrêtés pour leurs opinions ou pour leur travail. Et dernièrement une chanteuse Tshala Mwana a était arrêtée par l'ANR pour une de ses chansons, intitulée ingratitude sortie récemment sur les réseaux sociaux Il paraît que ce n'est pas du goût du pouvoir... Le changement tant attendu reste encore un rêve pour le peuple congolais.... Manasse Ngole

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